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9. What is the difference between mon, ton, son, &c, and mien, tien, sien, &c. ? Show that this distinction is, even now, not always made. 10. Decline gui, relative pronoun, and gui, interrogative pronoun. 11. Give the principal parts of the verbs alter, dormir, voir, coudre. 12. Compare the adverbs beaucoup, mai, peu, bien. 13 Tout, the adjective, has a peculiarity, and tout, the adverb, has also a peculiarity. Could you state what these are ? 14. In law and commerce they say, — je, soussigne, declare, Sfc. In what respects does this differ from the present way of expressing oneself in other matters ? 15. From the following words form verbs, and from these verbs deduce the rule for the formation of verbs from substantives and adjectives : Chemin, jardin, beche, grand, gros, maigre. 16. Give the French for the following adverbs of time : When, since, often, always, now, formerly, then, at last, to-day, to-morrow. 17. Give the adverbs of negation. Explain their meaning and origin. 18. Conjugate_/H/Zoi> in full. 19. State broadly the rule for the agreement of the past participle with the verb avoir. 20. What changes do adjectives undergo when they are turned into adverbs ? 21. Translate into English— A. L'extreme gout que Louis XIV. avait pour les choses d'eclat fut encore bien plus flatte par l'ambassade qu'il recut de Siam, pays ou Ton avait ignore jusqu'alors que la France existat. II etait arrive, par une de ces singularites gui prouvent la superiority dcs Europeens sur les autres nations, qu'un Grec, fils dun cabaretier de Cephalonie, nomme Phalk Constance, etait devenu bar colon, c'est-a-dire premier ministre ou grand vizir dv royaume de Siam. Cet homme, dans le dessein de s'affermir et de s'elever encore, et dans le besom qu'il avait de secours etrangers, n'avaitose se confier ni aux Anglais ni aux Hollandais; cc sont dcs voisins trop dangereux dans les Indes. Les Fran9ais venaient d'etablir dcs comptoirs sur les cotes de Coromandel, et avaient porte dans ces extremites de l'Asie la reputation de leur roi. Constance crut Louis XIV. propre a etre flatte par un hommage gui viendrait de si loin sans etre attendu. La religion, dont les ressorts font jouer la politique dv monde depuis Siam jusqu'a Paris servit encore a ses desseins. II envoya, au norn dv roi de Siam, son maitre, un solennelle ambassade avec de grands presents a, Louis XIV., pour lvi faire entendre que cc roi indien, charme de sa gloire, ne voulait faire de traite de commerce qu'avec la nation francaise, et qu'il n'etait pas meme eloigne de se faire chretien. La grandeur dv roi flattee efc sa religion trompee l'engagerent a, envoyer au roi de Siam deux ambassadeurs et six jesuites ; et depuis il y joignit dcs officiers avec huit cents soldats : mais l'eclat de cet ambassade siamoise fut le seul fruit qu'on en retira. Constance perit quatre ans apres, victime de son ambition : quelque peu dcs Fran9ais gui resterent aupres de lvi f urent massacres, d'autres obliges de fuir ; et sa veuve, apres avoir etc sur le point d'etre reine, fut condamnee, par le successeur dv roi de Siam, a servir dans la cuisine, emploi pour lequel elle etait nee. B. Pretez-moi l'un et l'autre une oreille attentive. Le Syrien me traite et de reine et de scaur. Je ne veux point ioi rappeler le passe, Enfin de ma maison le perfide oppresseur, Ni vous rendre raison dv sang que j'ai verse. Qui devait jusqu'a moi pousser sa barbaric, Cc que j'ai fait, Abner, j'ai eru le devoir faire. Jehu, le fier Jehu, tremble dans Samarie. Je ne prends point pour juge un peuple temeraire : De toutes parts presße par un puissant voisin, Quoi que son insolence ait ose publier, Que j'ai su soulever contre cet assassin, Le ciel m6me a pris soin de me justifier. II me laisse en ces lieux souveraine maitresse. Sur d'eclatants sueces ma puissance etablie Je jouissais en paix dv fruit de ma sagesse ; A fait jusqu'aux deux mers respecter Athalie. Mais un trouble importun vient, depuis quelques jours, Par moi Jerusalem goute un calme profond. De mes prosperites interrompre le cours. Le Jourdain ne voit plus l'Arabe vagabond, Un songe (me devrais-je inquieter dun songe ?) Ni l'altier Philistin, par d'eternels ravages, Entretient dans mon coeur un chagrin gui le ronge. Comme au temps de vos rois, desoler ses rivages;

List op Passes. [Extract from New Zealand Gazette, 30th March, 1882.]

The following lists contain statements of the principal results of the examination held at the end of January, 1882. It must be understood that the granting of a certificate depends only in part upon the result of an examination, and that candidates who have not had the experience required by the regulations, or who do not receive the necessary marks from a School Inspector, have no claim to a certificate. The first list contains the names of the successful candidates at the examination for Class D. The second supplies similar information with regard to Class E. The third and fourth lists give the names of candidates who will be allowed to qualify for Classes D and E respectively, by passing at the next examination in those subjects only in which they have this year been unsuccessful. The fifth is the list of candidates whose status before the examination was " provisional," and who have now passed in the additional subjects necessary for a full certificate. Every candidate will receive a private intimation of his success or failure, and those whose names are in the third and fourth lists will be advised as to the subjects in which they will require to be examined again. An asterisk against a name signfies that the candidate is too young to hold a full certificate.